La Bronze. Le nom intrigue, fascine, lui sied à merveille.
Éclatée, éclatante, vivante, vivifiante.
C'est la personnalité de Nadia Essadiqi, qui brille de dix mille feux.
Un « rock à paillettes » assumé, une versatilité peu commune et une façon impressionnante, voire déstabilisante de jouer avec les mots sans contrainte. Ces derniers ne suffisent d'ailleurs pas à décrire l'univers de l'artiste multidisciplinaire. L'écoute de sa musique éveille tous les sens. Ses écrits « poético-crus » peignent des tableaux, ses mélodies leur fait prendre vie.
Derrière la plume, devant le micro ou la caméra, la grande polyvalence de Nadia lui permet de rayonner au sein de tous les projets artistiques qu'elle entreprend. Elle tient d'ailleurs des rôles principaux dans les séries Quart de vie et Projet-M, toutes deux en nomination aux 29e prix Gémeaux dimanche prochain. Elle écrit aussi pour le théâtre en plus d'y jouer. L'art lui coule dans les veines. Littéralement.
À une semaine de la sortie de son premier album, j'ai jaspiné avec la pétillante.
En quoi ton nom d'artiste « La Bronze » te colle à la peau?
C'est une série de mots que j'aime bien, j'aime ce que ça évoque. Bronze, la couleur, la texture, la poésie qui en découle.
Tu fais dans le « rock à paillettes ». Explication?
C'est de la chanson pop-rock à saveur électro. C'est pas mal ça.
Ton premier album homonyme sort le 16 septembre prochain. Qu'est-ce qui le distingue du précédent EP paru en 2012?
Ça a rien à voir. On a fait de la recherche pour cet album-là. J'ai travaillé avec un réalisateur (Sébastien Blais-Monpetit) et on a vraiment pris le temps de prendre tous les détails en considération, au niveau des arrangements, des textures qu'on voulait, des textes. J'ai vraiment plus travaillé les textes, alors que pour le EP, on avait fait ça vraiment rapidement. Je l'ai enregistré en une journée et demie. On avait aucune recherche de son. Là, on a vraiment été dans les détails, on a vraiment été au bout de nos idées. On a tout donné.
Qu'est-ce qui a inspiré la création de l'album?
Tout ce que j'ai vécu, tout ce que j'avais envie de vivre. Tout mon environnement, tous les pays que j'ai vus, les gens que j'ai rencontrés, toute la musique que j'ai écoutée.
J'ai cru percevoir un grand investissement de ta part, non seulement au niveau musical, mais également dans tout ce qui complémente ton projet. Ton implication va au-delà de l'aspect musical?
Oui. Il y a les textes qui sont bien importants, c'est sûr. Je trouve qu'un projet musical c'est un tout. Il y a la musique, la poésie et les images qui crée un projet dans son entièreté.
Sur l'album à paraître, tu as collaboré entre autres avec Misteur Valaire et Moran. Comment est venue l'idée d'unir vos univers créatifs?
C'est une simple envie comme ça. Ce sont des artistes que j'aime et que j'admire beaucoup et j'avais envie de collaborer avec eux.
Il y a un côté animal et instinctif à cet album qui semble vouloir communiquer une certaine urgence de vivre, est-ce que je me trompe?
Non, tu te trompes pas du tout, c'est tout à fait ça en fait. De me défaire un peu de ce qui entrave à la liberté et ce qui entrave à être qui on est pour vrai et à juste vivre la vie comme elle mérite d'être vécue.
Éclatée, éclatante, vivante, vivifiante.
C'est la personnalité de Nadia Essadiqi, qui brille de dix mille feux.
Un « rock à paillettes » assumé, une versatilité peu commune et une façon impressionnante, voire déstabilisante de jouer avec les mots sans contrainte. Ces derniers ne suffisent d'ailleurs pas à décrire l'univers de l'artiste multidisciplinaire. L'écoute de sa musique éveille tous les sens. Ses écrits « poético-crus » peignent des tableaux, ses mélodies leur fait prendre vie.
Derrière la plume, devant le micro ou la caméra, la grande polyvalence de Nadia lui permet de rayonner au sein de tous les projets artistiques qu'elle entreprend. Elle tient d'ailleurs des rôles principaux dans les séries Quart de vie et Projet-M, toutes deux en nomination aux 29e prix Gémeaux dimanche prochain. Elle écrit aussi pour le théâtre en plus d'y jouer. L'art lui coule dans les veines. Littéralement.
À une semaine de la sortie de son premier album, j'ai jaspiné avec la pétillante.
En quoi ton nom d'artiste « La Bronze » te colle à la peau?
C'est une série de mots que j'aime bien, j'aime ce que ça évoque. Bronze, la couleur, la texture, la poésie qui en découle.
Tu fais dans le « rock à paillettes ». Explication?
C'est de la chanson pop-rock à saveur électro. C'est pas mal ça.
Ton premier album homonyme sort le 16 septembre prochain. Qu'est-ce qui le distingue du précédent EP paru en 2012?
Ça a rien à voir. On a fait de la recherche pour cet album-là. J'ai travaillé avec un réalisateur (Sébastien Blais-Monpetit) et on a vraiment pris le temps de prendre tous les détails en considération, au niveau des arrangements, des textures qu'on voulait, des textes. J'ai vraiment plus travaillé les textes, alors que pour le EP, on avait fait ça vraiment rapidement. Je l'ai enregistré en une journée et demie. On avait aucune recherche de son. Là, on a vraiment été dans les détails, on a vraiment été au bout de nos idées. On a tout donné.
Qu'est-ce qui a inspiré la création de l'album?
Tout ce que j'ai vécu, tout ce que j'avais envie de vivre. Tout mon environnement, tous les pays que j'ai vus, les gens que j'ai rencontrés, toute la musique que j'ai écoutée.
J'ai cru percevoir un grand investissement de ta part, non seulement au niveau musical, mais également dans tout ce qui complémente ton projet. Ton implication va au-delà de l'aspect musical?
Oui. Il y a les textes qui sont bien importants, c'est sûr. Je trouve qu'un projet musical c'est un tout. Il y a la musique, la poésie et les images qui crée un projet dans son entièreté.
Sur l'album à paraître, tu as collaboré entre autres avec Misteur Valaire et Moran. Comment est venue l'idée d'unir vos univers créatifs?
C'est une simple envie comme ça. Ce sont des artistes que j'aime et que j'admire beaucoup et j'avais envie de collaborer avec eux.
Il y a un côté animal et instinctif à cet album qui semble vouloir communiquer une certaine urgence de vivre, est-ce que je me trompe?
Non, tu te trompes pas du tout, c'est tout à fait ça en fait. De me défaire un peu de ce qui entrave à la liberté et ce qui entrave à être qui on est pour vrai et à juste vivre la vie comme elle mérite d'être vécue.
Dans quel état es-tu présentement, à quelques jours de dévoiler le fruit de ton travail?
J'ai très hâte. Ça fait longtemps qu'on travaille là-dessus, donc j'ai vraiment hâte de le dévoiler enfin. Ton lancement aura lieu le 17 septembre prochain à Montréal. À quoi est-ce qu'on peut s'attendre? Mes musiciens et moi on va faire une petite perfo. On va aussi jouer quelques pièces de l'album. Ça va être dans une ambiance intimiste à l'Apt. 200, c'est comme un grand loft. Pis voilà, on va vous dévoiler des petites parcelles de notre âme. |
Qui va t'accompagner sur scène?
Mes 3 musiciens.
Tu es aussi en préparation d'un nouveau projet au théâtre, est-ce que tu peux nous en parler?
Oui. Ça s'appelle Le coeur animal. C'est une pièce que j'ai écrite et que je vais jouer avec Julien Lemire et qui va être mise en scène par Ariane Castellanos. C'est au Théâtre La Chapelle Scènes contemporaines. C'est du 28 octobre au 1er novembre et ça raconte une histoire d'amour interdite qui est entre, en fait, un frère et une soeur.
Qu'est-ce qu'on te souhaite pour la suite? Une tournée prochainement?
Oui, on a une couple de shows. Les dates sont sur labronze.ca et il y en a plein qui vont se rajouter prochainement.
En terminant, question concept de musique en mots : est-ce que c'est par les mots ou par la musique que ton processus de création s'amorce?
Plus souvent par les mots, mais ça change. Ça peut être l'un ou l'autre. Mais plus par les mots je dirais.
ON RÉSUME.
Album La Bronze : Sortie en magasins le 16 septembre (c'est trop bon, je vous le dis). En pré-commande ici.
Lancement : 17 septembre à L'Apt. 200 à Montréal. Pour confirmer ta présence, c'est ici.
Quart de vie et Projet-M : épisodes disponibles en ligne ici et ici.
Le coeur animal : pour acheter tes billets, par ici.
Sans oublier le magique vidéoclip du premier extrait de l'album, Sache que.
MERCI à La Bronze pour son temps et sa belle lumière.
Je te souhaite l'infiniment beau et grand.
Mes 3 musiciens.
Tu es aussi en préparation d'un nouveau projet au théâtre, est-ce que tu peux nous en parler?
Oui. Ça s'appelle Le coeur animal. C'est une pièce que j'ai écrite et que je vais jouer avec Julien Lemire et qui va être mise en scène par Ariane Castellanos. C'est au Théâtre La Chapelle Scènes contemporaines. C'est du 28 octobre au 1er novembre et ça raconte une histoire d'amour interdite qui est entre, en fait, un frère et une soeur.
Qu'est-ce qu'on te souhaite pour la suite? Une tournée prochainement?
Oui, on a une couple de shows. Les dates sont sur labronze.ca et il y en a plein qui vont se rajouter prochainement.
En terminant, question concept de musique en mots : est-ce que c'est par les mots ou par la musique que ton processus de création s'amorce?
Plus souvent par les mots, mais ça change. Ça peut être l'un ou l'autre. Mais plus par les mots je dirais.
ON RÉSUME.
Album La Bronze : Sortie en magasins le 16 septembre (c'est trop bon, je vous le dis). En pré-commande ici.
Lancement : 17 septembre à L'Apt. 200 à Montréal. Pour confirmer ta présence, c'est ici.
Quart de vie et Projet-M : épisodes disponibles en ligne ici et ici.
Le coeur animal : pour acheter tes billets, par ici.
Sans oublier le magique vidéoclip du premier extrait de l'album, Sache que.
MERCI à La Bronze pour son temps et sa belle lumière.
Je te souhaite l'infiniment beau et grand.
© 2014 MARIE-THERESE T. TOUS DROITS RÉSERVÉS.